Tout le monde ne peut se permettre d’acheter dans la capitale, dont les prix ont connu 26% d’augmentation depuis 2008. Mais qui sont réellement ces acheteurs parisiens qui maintiennent la barre haute ? Les résultats d’une étude Meilleurtaux.com permettent de dresser un portrait-robot de ces acheteurs pas comme les autres.

Il est riche. L’acheteur parisien a un revenu nettement au-dessus de la moyenne : son ménage gagne en effet en moyenne 8345€ par mois, contre 5000€ pour la moyenne des ménages français.

Il est à peine plus âgé que la moyenne des acquéreurs. Son âge moyen est de 37,3 ans contre 36,7 en France.

Il voit grand. En effet, le budget d’un acheteur parisien n’a rien de comparable avec la moyenne française, qui se situe à 170 000€, contre 454,887€ pour l’acheteur dans la capitale, soit 200 000€ de plus ! Logiquement, son apport personnel est plus important que celui de la moyenne nationale (176 000€ contre 70 000€).

Des réalités qui écartent le primo accédant du marché parisien, phénomène amplifié par la disparition du PTZ+ ainsi que par le durcissement des conditions d’emprunt. En réponse, certains acteurs de la transaction immobilière proposent des solutions, comme c’est le cas du réseau Guy Hoquet l’Immobilier, qui propose des prêts à 0,75% sur un montant de 5000€ afin de donner un « coup de pouce » à ces futurs acquéreurs, qu’ils soient primo ou secondo accédant.

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