De Saint-Tropez à Montélimar en passant par Aubenas, le charme de la Provence et de la Méditerranée fait toujours autant d’effet. Des marchés très différents qui ont tout de même un point commun : la crise immobilière de ces dernières années a eu très peu, voire pas du tout, d’impact sur cette région.

À Saint-Tropez et à Sainte-Maxime, le marché de l’immobilier n’obéit pas à la tendance générale du secteur et reste ainsi toujours prisé par les acheteurs étrangers. Le marché local affiche ainsi des prix stables et à des niveaux élevés même si les demandes les plus fortes se situent sur des biens d’entrée de gamme. Ces derniers se négocient tout de même à 6000 euros du mètre carré et les tarifs peuvent s'envoler à 30 000 euros. 

Le marché ardéchois, avec ses maisons de charme, nourri par une clientèle étrangère et les habitants des grandes villes françaises, Paris, Lyon, Bordeaux, connaît des prix et une demande stable. Quant à la Drôme Provençale, qui regorge de villages de charme, le marché est également stable grâce à une nouvelle clientèle qui ne peut acheter dans le Lubéron voisin pour cause de saturation du marché.

Quelques exemples de transactions? A Sanit-Tropez, dans le quartier du Pinet, cette maison avec piscine et 3 chambres un beau jardin et une vuie déghagée s'est venude 1 950 000 euros.

Autre transaction beaucoup plus raisonnable: cette maison de 230 mètres carrés située dans un petit village provençal à proximité de Montélimar, disposant d'un petit jardin , d'une piscine et d'une jolie vue s'est vendue 525 000 euros. Enfin à Aubeanas,  une maison ancienne en pierre de 5 pièces avec jardin est partie pour 244 000 euros. Elle nécessitait quelques travaux.

Dans tous les cas gardez à l'esprit que l'acaht d'une résidence secondaire ne se fait pas à la légère. Car au-delà du couût d'acquisition, celui de l'entretien n'est pas négligeable non plus.