Newsletter : restons en contact

Les prix vont-ils baisser en 2014 ?

Titre article

Les prix vont-ils baisser en 2014 ?

Actualités
Publié le 10/04/2014 - Mis à jour le 10/04/2014

Les prix vont-ils baisser en 2014 ?

 

C’est la grande question pour acquéreurs et vendeurs. Est-ce le moment d’acheter, ou faut-il attendre une éventuelle baisse à venir ? Bilan du 1er trimestre et perspectives pour 2014.

Jeudi 10 avril, le réseau Guy Hoquet dévoilait son bilan du marché du 1er trimestre 2014, et notamment sur l’évolution des prix constatés sur tout le territoire français, comparés à l’année 2013. Résultat : une légère baisse qui, entamée en 2013, se confirme sur tout le territoire, Paris ne faisant plus exception à la règle. Ainsi, par rapport au 1er trimestre 2013, les prix nationaux perdent 1.8%, la province perd 2.1%, tandis que Paris voit ses prix évoluer à -1.6% et l’Ile-de-France à -1.4%. Une progression donc de la décroissance observée en 2013, mais surtout un phénomène nouveau : Paris n’est plus l’exception et enclenche également une décroissance. Pas de quoi envisager une chute des prix à venir, pourtant, selon Fabrice Abraham, Directeur Général de Guy Hoquet l’Immobilier.

Evolution des prix immobiliers en 2014


« Ceux qui prédisent l’éclatement d’une bulle immobilière en 2014 ou 2015 vont être déçus. Avec une demande bien supérieure à l’offre sur le territoire Français, et une évolution des prix beaucoup plus douce que dans d’autres pays comme les Etats-Unis ou l’Espagne qui ont connus, ces dernières années, des pics haussiers, la France reste et restera raisonnable. Il ne faut donc pas s’attendre à une chute vertigineuse des prix à venir, particulièrement si les taux restent bas cette année, ce qui l’hypothèse la plus probable ».
Qu’attendre alors de l’évolution des prix pour les mois à venir ? « Nous pourrions assister à une légère baisse à venir, entre 0 et 2% sur tout le territoire, avec notamment, à Paris, une baisse comprise entre -1% et -2%, et entre -2 et 3% sur tout le territoire national », précise Fabrice Abraham.

 

La rédaction