Avec le nouveau TGV qui reliera, dès 2015, Saint-Malo à Paris en 2H15, c’est toute la région des bords de Rance qui voit son marché encore plus dynamisé : acquéreurs locaux, mais aussi, désormais, clientèle parisienne en recherche d’une meilleure qualité de vie, feront, demain, augmenter la valeur de la pierre armoricaine. En attendant, restent de très belles opportunités à saisir.

Avec les bords de Rance en toile de fond, et la pierre bretonne ancestrale comme couleur, la cité de Dinan cumule tous les charmes des Côtes-d’Armor. Proximité de la mer, activités nautiques, nature et quartiers historiques : autant d’atouts qui font de la cité Dinannaise un secteur dynamique au regard du marché de l’immobilier, et qui concerne tous les profils de clients. « Aujourd’hui, nous répondons à la demande aussi bien de primo-accédants, d’acquéreurs en résidence principale qu’en résidence secondaire, et, ce, à part égale », comme William Pillons, agent immobilier Guy Hoquet à Dinan. Un marché hétéroclite qui permet une large offre de biens : de la maison familiale contemporaine à l’extérieur de la ville à partir de 250 000 euros, en passant par la demeure bourgeoise du XIXème en centre-ville, accessible entre 350 000 et 400 000 euros, jusqu’à la grande propriété de charme type manoir ou longère à laquelle on accède, aujourd’hui, pour un budget compris entre 450 000 et 500 000 euros.

De quoi séduire une clientèle locale mais aussi parisienne, à la recherche de résidence secondaire. L’arrivée du TGB à Saint-Malo, en 2015, qui permettra de relier la capitale en 2H15, devrait nettement accélérer le mouvement, faisant de Saint-Malo la nouvelle banlieue chic parisienne. « Nous le constatons déjà au niveau de l’activité : Saint-Malo devient presque la banlieue parisienne. Nombre de familles ont déjà choisi de s’y installer, tout en travaillant dans la capitale, accédant ainsi à une qualité de vie exceptionnelle. Une situation qui s’étendra au secteur et notamment à la ville de Dinan. En attendant, restent encore de très belles opportunités à saisir », précise William Pillons.

Par la rédaction