Affaires à saisir à la campagne !
Affaires à saisir à la campagne !
Affaires à saisir à la campagne !
Les zones rurales sont particulièrement touchées par la baisse des prix. Avec des taux qui restent bas, et un PTZ+ dans l’ancien spécial « zones rurales », les opportunités pour les acquéreurs dans les agglomérations de moins de 20 000 habitants sont importantes.
Si la France voit ses prix baisser, en 2014, de 1,7% sur l’ensemble du territoire, la réalité est en réalité plus contrastée sur le terrain : alors que dans la capitale, les prix se maintiennent avec une baisse de 0.8%, certains secteurs ruraux voient leurs prix marquer une forte escalade, allant parfois jusqu’à -20%. En moyenne, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier a enregistré pour 2014 une baisse des prix de 1.6% pour les zones de plus de 20 000 habitants, et une baisse des prix de 2.5% pour les agglomérations de moins de 20 000 habitants.
Un phénomène à long terme
« Le phénomène n’est pas nouveau, constate Fabrice Abraham, Directeur Général du réseau Guy Hoquet l’Immobilier. Depuis 2009, l’écart ne cesse de se creuser entre ces zones géographiques aux antipodes. Ainsi, si en 2009 l’écart de prix entre Paris et les villes de moins de 20 000 habitants était de 3800 euros le m², en 2014, il est de 6050 euros ! Même si l’accalmie des prix généralisée dégonfle légèrement cet écart, la tendance à long terme n’en est pas moins marquée. La France est très clairement marquée par des différences de marché immobiliers très marquées ».
De belles opportunités liées à plusieurs facteurs
Une baisse des prix qui crée des opportunités exceptionnelles, que ce soit sur le marché de la résidence secondaire, qui voit ses prix baisser parfois jusqu’à 20%, mais aussi sur le marché de la résidence principale, qui bénéficie maintenant d’un nouveau PTZ + dans l’ancien. Ainsi, dans 6000 communes en France, les primo-accédants bénéficient, sous conditions de ressources, d’un prêt à taux zéro dans le cadre de l’acquisition d’un bien ancien à rénover. Un nouveau dispositif, qui, avec des taux historiquement bas qui se confirme, devrait ouvrir de nouvelles perspectives aux acquéreurs.
Les acquéreurs ont le pouvoir
De plus, le marché, marqué par une pénurie de la demande, redonne le pouvoir aux acquéreurs, qui ont désormais le choix et la possibilité de négocier. « Les acheteurs sont hésitants et ne se manifestent qu’en cas de prix réellement intéressant », observe Dominique Roullier, agent immobilier Guy Hoquet à Surgères (17). Pour Nadège Doublet, agent immobilier Guy Hoquet à Valleiry ( 74), « certains clients vendeurs vendent à perte ». A Bagnol-sur-Cèzes (30), Jean-Luc Vexlard constate que « les vendeurs surestiment leur bien et que les acquéreurs sont toujours très hésitants ».
La proximité d’une grande ville maintient la demande
L’activité et les prix évoluent dans le cadre de la proximité avec une grande ville. Ainsi, à Chateaudun (28), la relative proximité de la capitale dynamise le marché. Pour Jérémie Claveau, « l’activité est